
La profondeur, en photographie,
n'est jamais qu'illusoire.
J'habite en permanence une surface plane.
Appréhender le monde comme apparence,
c'est comprendre avec ses sens.
Photographier, c'est transformer la réalité,
la décontextualiser... pour lui redonner sens?
S'approprier la confusion de la masse
d'information...
pour pouvoir l'habiter.
Enfin chez soi... quelque part.
J'habite en permanence une surface plane.
dimanche 28 août 2011
Geometric poetry of the day II
Que peut-il rester?
des impressions en lieu et place de souvenirs.
des écrans de projection en lieu et place de communications.
La trame de nos vies,
la trace d'un tableau sur le mur,
le murmure du vent dans les branches.
Vaines agitations...
Geometric poetry of the day
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